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qu’en avaient les fouteurs, ils purent les maltraiter à leur gré non seulement aux repas, mais même dans tous les autres instants de la journée, sûrs que jamais on ne leur donnerait le tout. Ces occupations remplirent ou précédaient les visites ordinaires ; la belle Fanni, à laquelle Curval avait fait dire de se trouver en un certain état, se trouva dans l’état contraire, [la suite nous expliquera tout ce-ci], elle fut mise sur le cahier de corrections. Chez les jeunes gens, Giton avait fait ce qu’il était défendu de faire, on le marqua de même et après les fonctions de la chapelle furent remplies qui fournirent très plus de sujets, on se mit à table, ce fut le premier repas, où les amants furent admis, ils prirent place chacun à côté de celui qui l’aimait, lequel l’avait à sa droite et son fouteur favori à gauche, les charmants petits convives de plus égayèrent le repas, tous quatre étaient très gentils, d’une grande douceur et commençant à se prêter au mieux autour de la maison, l’évêque très en train ce jour-là, ne cessa de baiser Céladon, presque tout le temps du repas, et comme cet enfant devait être du quadrille servant le café, il sortit un peu avant le dessert. Quand mgr., qui venait de s’en échauffer la tête, le revit tout nu dans le salon de côté, il ne s’y tint plus. — „Sacre Dieu,“ dit-il tout en feu, „puisque je ne peux pas l’enculer, au moins lui ferai-je ce que Curval a fait hier à son bardache,“ et saisissant le petit bonhomme, il le couche sur le ventre, en disant cela, lui glissa son vit dans les cuisses, le libertin était aux nues, le poil de son vit frottait le trou mignon qu’il aurait bien voulu perforer, une de ses mains maniait les fesses du délicieux petit amour, l’autre lui branlait le vit,