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offrir. L’examinateur fut enfermé dans la chambre du trou avec ma sœur et je passai avec l’autre. Celui-ci était un jeune homme de vingt-huit ans, beau et frais ; instruit de l’endroit du trou, il se porta sans affection vis-à-vis et m’y fit placer à côté de lui. Je le branlai, dès qu’il banda, il se leva, fit voir son vit à l’examinateur, se retourna montra son cul, me troussa, fit voir le mien, se mit à genoux devant, me branla l’anus avec le bout de son nez, écarta bien, montra tout avec délice et exactitude et déchargea en se branlant lui-même, pendant qu’il me tenait troussée par derrière devant le trou en telle sorte que celui qui l’occupait voyait à la fin en ce moment décisif et mes fesses et le vit en couronne de mon amant, si celui-ci s’était délecté, Dieu sait, ce que l’autre éprouva, ma sœur dit, qu’il était aux cieux et qu’il avouait n’avoir jamais eu tant de plaisir et ses fesses furent inondées d’après cela pour le moins autant que l’avaient été les miennes.109) — „Si le jeune homme avait un beau vit et un beau cul,“ dit Durcet, „il y avait là de quoi faire une jolie décharge.“ — „Elle dut donc être délicieuse,“ dit Duclos, „car son vit était très long, assez gros et son cul aussi doux, aussi potelé, aussi joliment formé que celui de l’amour lui-même.“ — „Écartiez-vous ses fesses ?“ dit l’évêque, „fîtes-vous voir le trou à l’examinateur ?“ — „Oui mgr., dit Duclos, „il fit voir le mien, j’offris le sien, il le présentait le plus lubriquement du monde.“ — „J’ai vu une douzaine de scènes comme cela dans ma vie,“ dit Durcet, „qui m’ont bien coûté du foutre. Il en est peu de plus délicieux à faire — je parle de toutes deux, car il est aussi joli de surprendre que de vou-