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habile maîtresse ne vint seulement pas à bout de lui faire lever le nez, il en sortit triomphant et comme l’impuissance donne toujours en preuve cette sorte d’humeur qu’on appelle taquinième en libertinage ses visites furent étonnamment sévères, Rosette, chez les filles, et Zélamir, chez les garçons furent les victimes, l’un n’était pas comme on lui avait dit de se trouver — cette énigme s’expliquera — et l’autre106) s’était malheureusement défait ce qu’on lui avait ordonné de garder. Il ne parut aux leçons publics que la Duclos, Marie, Aline et Fanni, deux fouteurs de la seconde classe et Giton. Curval, qui bandait beaucoup ce jour-là s’échauffe beaucoup avec Duclos, le dîner, où il se tint à des propos très libertins, ne le calma point, et le café présenté par Colombe, Sophie, Zéphire et son cher ami Adonis, acheva d’embraser sa tête. Il saisit ce dernier et le culbutant sur un sopha, il lui plaça en jurant son membre énorme entre les cuisses par derrière, et comme cet énorme outil dépassait de plus de 6 pouces de l’autre côté, il ordonna le jeune garçon de branler fortement ce qui sortait, et ce mit lui-même à branler l’enfant au-dessus du morceau de chair dont il le tenait embroché, pendant ce temps-là il présentait à l’assemblée un cul aussi sale que large dont l’orifice impure vint à tenter le duc, voyant le cul à sa porte, il y braqua son nerveux instrument en continuant de sucer la bouche de Zéphire, opération qu’il avait entreprise, avant que ne lui prit l’idée qu’il exécutait. Curval qui ne s’attendait pas à une telle attaque en blasphéma de joie, il trépigna, il s’élargit, se prêta, en ce moment le jeune foutre du charmant garçon qu’il branlait, dégoutte sur la tête énorme de