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ôté ce foutre con de la tête,“ et en disant cela, il me retourna, et leva méthodiquement un cotillon par derrière, en cette posture me conduisant lui-même et tenant toujours mes jupes levées, pour voir les mouvements de mon cul en marchant, il me fit approcher du lit, sur lequel il me coucha à plat ventre. Alors il examina mon derrière avec la plus scrupuleuse attention, se garantissant toujours avec une main de la perspective du con, qu’il me paraissait craindre plus que le feu, enfin m’ayant averti de dissimuler tout que je pourrais cette indigne partie, — je me sers de son expression, — de ses deux mains il mania longtemps et avec lubricité mon derrière, il l’écartait, il le vénérait quelques fois, il [y] portait sa bouche et je la sentis même une fois ou deux directement appuyée sur le trou. Mais il ne se touchait point encore, rien ne paraissait, se sentait pourtant pressé apparemment il se disposa au dénouement de son opération : „couchez-vous tout à fait à terre,“ me dit-il, en me jetant quelques carreaux, „là, oui, ainsi. — Les jambes bien écartées, le cul un peu relevé, et le trou le plus entr’ouvert, qu’il vous sera possible, — au mieux continua-t-il en voyant ma docilité, et alors prenant le tabouret, il le plaça entre mes jambes, et vint s’asseoir dessus, de manière à ce que son vit, qu’il sortit entre ses culottes et qu’il secoua, fut pour ainsi dire à la hauteur juste du trou, qu’il encensait ; alors ses mouvements devinrent plus rapides, d’une main il se branlait, de l’autre il écartait mes fesses, et quelques louanges assaisonnées de beaucoup de jurements composaient son discours : „ah, sacre Dieu, le beau cul,“ s’écriait-il, „le joli trou, et comme je vais l’inonder,“ — il tint parole, je me sentis toute