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devais pas y être longtemps sans y trouver pratique. [7] Dès le soir même, il nous arriva un vieux négociant empaqueté dans un manteau avec qui la Guérin me maria pour mon étrenne. „Pour le coup,“ dit-elle au vieux libertin, en me présentant à lui, „vous la voulez sans poil, Ms. Duclos, je vous suis caution que celle-là n’en a pas.“ — „effectivement,“ dit le vieux original en me lorgnant, „ça m’a l’air bien enfant, quel âge avez-vous, ma petite ?“ — „9 ans, monsieur.“ — „Neuf ans — bien bien, md. Guérin, vous le savez, voilà comme je les aime, plus jeunes encore si vous en aviez, je les prendrais, mortbleu, au sortir de la nourrice.“ — Et la Guérin se retirant en riant du propos, on nous enferma tous les deux. Alors le vieux libertin, s’approchant de moi, me baisa deux ou trois fois sur la bouche, et d’une de ses mains conduisant la mienne, il me fit sortir de sa bragette un engin, qui n’était rien moins que bandant et agissait toujours sans trop parler, il défila mes jupons, me coucha sur le canapé, ma chemise relevée sur ma poitrine, et s’établissant à cheval sur mes cuisses, qu’il avait placées dans le plus grand écartement possible,84) d’une de ses mains, il entr’ouvrait85) mon petit con tant qu’il put, tandis que de l’autre il se manualisait dessus de toutes ses forces. „Le joli petit oiseau,“ disait-il, en s’agitant et en soupirant de plaisir, „comme je l’aprivoiserais si je pouvais encore, mais je ne peux plus, j’aurais bien faire ! En quatre ans le bougre du vit ne raidirait pas, ouvre, ouvre, ma petite, écarte bien,“ et au bout d’un quart d’heure à la fin je vis mon homme soupirer avec plus de force, quelques sacrédieux vinrent prêter de l’énergie à ses expressions, et je me sentis tous les bords du