Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 9, 1797.djvu/47

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ses prémices. Fous ton fils, lui crie mon père ; je vais enculer ma fille ; que tous quatre en ce jour assouvissent nos brutalités ; il est tems de leur faire jouer le seul rôle que leur ait assigné la Nature ; il est tems qu’ils sachent que ce n’est que pour nous servir de putains qu’ils sont nés, et que sans l’espoir de les foutre, nous ne les eussions peut-être jamais créés. Les deux sacrifices s’offrent à-la-fois : à droite, on voit Bréval dépucelant son fils, en baisant le trou du cul de sa femme, et maniant les fesses de sa fille, encore inondées de son foutre ; à gauche, mon père, enculant Gabrielle, pendant qu’il lèche mon cul, qu’il moleste celui de sa femme d’une main, en branlant de l’autre l’anus de Pamphile ; tous deux déchargent, et le calme renaît.

Le reste de la soirée se consacre à nous donner des leçons ; on nous marie ; mon père m’unit à ma sœur ; Breval en fait de même avec ses enfans : ils nous excitent, préparent les voies, consolident les jonctions ; et pendant qu’ils nous engeancent ainsi par-devant, ils sondent nos culs tour-à-tour, en se cédant mutuellement les places ; ensorte que Breval m’enculait, lorsque