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qui devaient se plonger dans sa mère. Nous nous amusions des deux autres. Afin de ménager leurs forces, nos hommes avaient défense de décharger. Nous leur présentâmes l’aînée des filles ; et pour lors, c’était la mère qui devait préparer les vifs dont sa fille allait être foutue. Cette seconde attaque eut encore le plus grand succès : les trois enfans de Rosalba furent foutues des vits, préparés par leur mère. Un seul de nos hommes, Auguste ne fut pas assez maître de lui, son foutre éjacula dans le con d’Isabelle. Ce n’est rien, dit Clairwil, en l’attirant à lui, je ne le veux que trois minutes dans mes mains, pour qu’il bande aussi bien qu’il faisait tout à l’heure.

Les culs se tournent, la mère commence, ses filles sont obligées de darder les vits dans son anus ; elle leur rend bientôt le même service. Roger, comme le mieux membré des quatre, est contraint à dépuceller la plus jeune… il l’estropie… il la met en sang ; nous déchargeons, lubriquement bradées par les autres filles et sodomisées par les hommes. Ici Vanini s’oublia ; il ne tint pas au beau cul d’Ernesille ; il lui remplit l’anus de foutre ; et Clairwil, dont rien n’égalait le