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l’engin, soit un clitoris. Il résultait de cette mécanique entière, que la femme placée sur le sopha que faisaient mouvoir les ressorts adaptés, y était d’abord mollement étendue sur le ventre… enfilée par un godmiché, sucée par une fille, branlant un vit de chaque main, présentant son cul au vit bien réel qui viendrait le sodomiser, et suçant alternativement, d’après ses goûts, tantôt un vit, tantôt un con, même un cul. Je ne crois pas, dit Clairwil, en s’adaptant bien nue sur ce siège, qu’il soit possible d’inventer rien de plus extraordinairement lubrique ; cette seule position m’irrite… je décharge rien qu’en me plaçant.

Nous nous arrangeâmes toutes : quatre jeunes filles de seize ans, nues et belles comme des anges, aidèrent à nous placer ; elles humectèrent les godmichés d’essence, pour qu’ils entrassent plus facilement : elles fixèrent, arrangèrent les positions ; puis écartant nos fesses, elles oignirent de même le trou de nos derrières, et restèrent, pour nous soigner pendant l’opération.

Alors Francaville donna le signal ; quatre pucelles de quinze ans amenèrent, par le vit, un pareil nombre de garçons superbes,