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plus chauds baisers : fixe un instant ta posture et tes mouvemens, me dit-il, je veux t’enculer pendant que tu fouts ma femme… toi, Zerbi, branle mon derrière. La scène dura quelques instans, au bout desquels le prince, remettant sa femme à ma place, l’encule pendant qu’elle me fout ; un moment après, il la fait sodomiser par le jeune homme, je la gamahuche, et lui… décharge enfin dans le cul du page qui le cocufie.

Au bout d’un moment de repos employé à nous baiser, à nous manier, nous recommençâmes. Ferdinand se mit dans mon cul, il gamahuchait celui de Zerbi, il le faisait chier dans sa bouche, et sa femme lui donnait le fouet ; au bout d’une minute, il sortit de mon cul, prit les verges et nous fouetta tous trois assez fort ; la reine me le rendit, c’était une de ses passions, elle me mit en sang ; elle suça le vit du page, pendant que son mari l’enculait et qu’elle me maniait le derrière. Peu après nous entourâmes Ferdinand, je le suçais, sa femme le socratisait, lui maniait les couilles, et le page à cheval sur sa poitrine, lui faisait lécher le trou de son cul ; il se relève de là bandant fort dur. Je ne sais pourquoi