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con inonde son gosier de foutre, le sien est un torrent dont les fréquentes éjaculations remplissent le mien et le délectent. Quand nous n’eûmes plus de foutre à répandre, elle me supplia de lui pisser dans la bouche ; je lui demandai la même chose, nous nous inondâmes d’urine, et nous avalions à mesure, qu’elle coulait.

Charlotte est belle, sa peau fort blanche, sa gorge soutenue, ses fesses admirables, ses cuisses d’une merveilleuse proportion ; on voit qu’elle a beaucoup foutu de toutes les façons possibles, mais elle est pourtant bien conservée, et ses ouvertures encore fort étroites[1].

O mon amour, lui dis-je, véritablement émue de ses charmes, portons-nous des coups plus sérieux : voilà ce qu’il faut pour cela, nous dit le roi, en nous jetant des godmichés ; et nous étant affublées toutes deux, nous nous lançâmes bientôt les bottes les plus énergiques. Dans une de ces attitudes, mon cul se trouva bien en face de Ferdinand, il l’examine, il le convoite, il le couvre des

  1. Cette esquisse est d’après nature.