Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 9, 1797.djvu/235

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

me vautre au milieu des cochonneries qu’a faites cette petite fille… Es-tu folle, dit Olimpe ? Non, je le veux ; on lui obéit, et c’est-là, c’est en se roulant sur de la merde, que la coquine décharge en mourant de plaisir. Les pénitences nouvelles s’exécutent ; c’est Borghèse qui doit opérer. Attendez, dit le capitaine, au moment où il la voit s’armer du fer qui doit calciner les tetons de Rosine, je veux enculer cette femme pendant que vous la tourmenterez ; il sodomise ; on opère ; ô double foutu-dieu, s’écrie-t-il, comme il est doux de foutre le cul d’un individu souffrant ! malheur à qui ne connaît pas ce plaisir ! c’est le plus grand de la nature. Malgré sa peur, Ernelinde reçoit des mains de son père, qui l’encule avant, le remède anodin, prescrit par Clairwil : le reste s’opère de même, et les attitudes dérangées l’on passe à de nouvelles horreurs.

Carle-Son, furieux, et s’enflammant à tout instant pour mon cul, qui, disait-il, lui tournait la tête, saisit ses enfans ; il les frappe, il les fouette, il les fout, pendant que nous nous branlons entre femmes, en face d’un spectacle qui nous donne l’idée du loup furieux au sein des paisibles brebis.