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le troisième et le quatrième lui font branler leurs vits. Au bout d’un instant, toujours au milieu du cercle, les quatre gitons tour-à-tour lui chient dans la bouche et il avale ; alors le cercle se rompt : il faut que toutes les femmes viennent sucer sa langue ; il leur pince ou la gorge ou les fesses pendant ce tems-là ; à mesure qu’une femme le quitte, elle va se placer de file sur un long canapé ; dès que toutes y sont, les Icoglans, armés de verges, vont en fouetter chacun trois ; dès qu’elles sont en sang, il les parcourt, suce les marques, et lèche le trou de leurs culs encore imprégné de merde ; cela fait il reprend les bardaches, et les encule tour-à-tour ; mais il ne fait là que se mettre en train. Les femmes, dès qu’il a fait, saisissent ces jeunes gens, et les lui offrent ; il les fouette l’un après l’autre, et pendant ce tems, tout ce qui n’est pas occupé, s’arrange autour de lui pour lui composer, avec un art incroyable, et sans qu’il dise un mot, les attitudes les plus obscènes et les plus variées : quand les quatre enfans sont fouettés, on les lui représente, il les encule encore ; mais au moment où il est prêt de décharger, il se retire avec fureur,