Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 9, 1797.djvu/163

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Les jeunes filles déshabillent leur reine, et l’accablent ensuite des plus douces caresses. Trois suçaient à-la-fois la bouche, le con et le cul ; les trois autres relayaient à l’instant celles-ci ; les premières reprenaient ensuite, et cet exercice se faisait avec une incroyable rapidité ; elles s’armèrent de verges, et vinrent étriller doucement Catherine, chacune sur une partie différente du corps. Les hommes entouraient, et les filles venaient de tems en tems baiser leurs bouches et branler leurs vits. Quand tout le corps de l’impératrice fut rouge comme de l’écarlate, elle se le fit frotter avec de l’esprit de vin ; puis-s’asseyant sur le visage de l’une de ses filles, qui eut ordre de lui gamahucher le trou du cul, elle en reçut une seconde à genoux entre ses jambes, qui lui suçait le clitoris ; la troisième lui suçait la bouche ; la quatrième, les tétons, et elle, en branlait une de chaque main. Les six garçons alors, se grouppant de même, vinrent apporter la tête de leurs vits sur toutes les portions des fesses de ces six femmes, qu’ils purent saisir. Je n’ai jamais rien vu de voluptueux comme ce grouppe ; il coûta du foutre à Catherine. Je l’entendis