Page:Sade - La nouvelle Justine, ou les malheurs de la vertu, suivie de L'histoire de Juliette, sa soeur, tome 8, 1797.djvu/165

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

poitrines, nous feront sucer le trou de leurs culs, ils baiseront, au-dessus d’eux, les fesses des deux femmes qui, elles-mêmes branleront les vits des deux petits garçons, et les quatre fouteurs seront branles par nous, chacun d’une main.

Tels vont être nos rangs dans cette quatrième scène, poursuit le charmant cardinal ; deux femmes, différentes que celles qui viennent de nous sucer, agenouillées contre ces sophas, vont recevoir nos vits dans leurs bouches ; les deux autres femmes nous serviront de maquerelles ; elles disposeront les quatre fouteurs à nous enculer tour-à-tour, elles les socratiseront, elles les gamahucheront, elles les langotteront ; en un mot, elles n’épargneront rien pour les faire bander, et quand elles les verront prêts à nous perforer, elles humecteront de leurs bouches et de leurs langues, le trou de nos derrières, et conduiront avec soin, leurs membres dans nos culs ; les quatre petits garçons se relayeront sous nos bouches, et, couchés en face de nous, à plat-ventre, ils nous feront alternativement baiser leurs quatre culs. Les quatre fouteurs étaient vigoureux ; nous les excitions à merveille. Les deux vieilles cu-