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retirer les vits des routes qu’ils parcouraient, de les sucer et de les rétablir. Quelquefois aussi, lorsque les routes étaient vacantes, soit que ce fut celle du cul, soit que ce fut celle du con, elle y enfonçait sa langue et gamahuchait un quart-d’heure. Celui dont elle avait pris la place la foutait alors pendant ce tems-là. Toujours plus empressée qu’elle, c’était par de vigoureuses claques sur les fesses que j’excitais le zèle des combattans, ou bien je leur pelottais les couilles, je suçais leur bouche, je langottais celles des filles, je polluais leur clitoris : il n’était rien, en un mot, que je n’inventasse pour précipiter l’émission du foutre, et je le déterminai chez presque tous : mais c’était dans mon cul qu’elle se faisait ; je ne laissais pas ces filles jouir de mon ouvrage, et ce n’était que par intérêt personnel que j’avais l’air d’enflammer leurs amans : cette scène achevée, je proposai la suivante.

Il s’agissait de s’accroupir à plat-ventre sur la bouche d’une des jeunes filles qui nous gamahucherait, d’en gamahucher une autre en avant de nous, et de présenter les fesses aux dix jeunes gens qui, servis par la cinquième fille que nous n’em-