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nature ! Ah ! quand j’excite en toi des transports, je voudrais voir palpiter ton cœur. Quelle idée, me dit Clairwil, elle me peint ton caractère, Juliette, je t’adore ; faisons tout ce que tu voudras, et mon amie fut aussi nue que moi ; dans l’instant nous nous examinâmes d’abord plusieurs minutes en silence. Clairwil s’enflammait à la vue des beautés que m’avait prodiguées la nature. Je ne me rassasiais pas d’admirer les siennes ; jamais on ne vit une plus belle taille, jamais une gorge mieux soutenue… des fesses ! ah Dieu ! c’était le cul de la Vénus adorée des Grecs ; je n’en vis jamais de coupé plus délicieusement, je ne me lassais point de baiser tant de charmes ; et mon amie se prêtant d’abord avec complaisance, me rendait ensuite au centuple, toutes les caresses dont je l’accablais. Laisse-moi faire, me dit-elle enfin après m’a voir couché sur l’ottomane, les cuisses très-ouvertes, laisse-moi te prouver, ma chère bonne, que je sais donner du plaisir à une femme ; deux de ses doigts alors travaillèrent mon clitoris, et le trou de mon cul, pendant que sa langue enfoncée très-avant dans mon con, pompait avidement le foutre qu’excitaient ses titillations ;