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de la Delbène. Voici comme la putain disposa le groupe.

Elisabeth, sur le dos, était établie au bord du lit. Delbène étendue dans ses bras, s’en faisait branler le clitoris. Flavie à genoux, les jambes sous le lit, la tête à la hauteur du con de la supérieure, la gamahuchait et lui pressait les cuisses. Au-dessus d’Elisabeth Ste.-Elme, le cul sur le visage de cette dernière, présentait en plein son con aux baisers de Delbène, que Volmar enculait de son clitoris brûlant. On m’attendait pour completter le groupe, mise un peu courbée auprès de Ste.-Elme, j’offrais à lecher à l’envers ce que celle-ci faisait gamahucher par devant. Delbène passant avec inconstance et rapidité du con de Ste.-Elme au trou de mon cul, léchait, pompait ardemment l’un et l’autre, et se remuant avec l’agilité la plus incroyable sous les doigts d’Elisabeth, sous la langue de Flavie et sous le clitoris de Volmar, la tribade n’était pas une minute sans répandre des torrens de foutre.

Oh, sacredieu, dit Delbène, en se retirant de là, rouge comme une bacchante, double dieu, comme j’ai déchargé. N’importe,