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tes yeux… Tout s’exécute, malgré les résistances naturelles et nécessitées par les disproportions qui se trouvent entre l’énorme engin de père Ives, et le cul mignon de la jeune Martine. L’attaque se commence ; Luce aide son amant… le baise… l’excite, pendant qu’il agit. La malheureuse victime, à-la-fois vexée par les douleurs du coup qu’elle a reçue, et par l’anti-naturelle intromission du vit dont on la perfore, jette des cris inhumains ; et Siméon ayant cet intéressant tableau sous les yeux, se met bientôt à la besogne. Déjà Pauline s’était introduit le petit engin très-dur, de mon frère ; déjà le petit bougre foutait sa mère, quand Siméon, voyant le cul de son fils bien à sa portée, se présente à l’orifice en vainqueur. Des difficultés sans nombre accompagnent l’entreprise ; mais Siméon n’est pas homme à se laisser repousser par aucune. Léonarde contient l’enfant ; elle lui écarte les fesses ; le moine mouille son vit… il le présente… deux bonds furieux, accompagnés d’énormes blasphêmes, engloutissent déjà la tête : Siméon redouble ; ma mère contient et caresse son fils ; l’enfant pleure ; les plaisirs qu’on lui donne par devant ne le dédommagent pas des douleurs qu’il ressent par der-