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Laurette, et remerciez-le de ses bontés… Laurette exécute ; et c’est à Bressac à répondre.

Je me suis enfermé avec Victor, dit-il ; je l’ai foutu en bouche, j’ai sucé sa langue au moment où mon vit quittait ses lèvres ; j’ai gamahuché son cul, et je l’ai sodomisé. — Avez-vous travaillé le moral ! — Infiniment ; il n’y a point de vertus que je n’aie détruites, point de vices que je ne lui aie fait chérir. — Quelle a été, dans vous, la dose de volupté ? — Très-violente. — Avez-vous perdu du foutre ? — Non. — Avez-vous desiré de faire pis ? — Assurément. — Avez-vous beaucoup blasphémé en agissant ? — Beaucoup. — Votre vit est-il sorti pur ou immonde de l’anus du jeune homme ? — Il en est sorti plein de merde. — Pourquoi ne lui avez-vous pas fait sucer ? — Je l’ai fait. — Avez-vous sucé sa bouche après ? — Oui. — En quel état est votre vit ? — Vous le voyez, il bande. — Faites entretenir cela par un giton.

À vous, d’Esterval. — J’ai gamahuché le con de Cécile, j’y ai plongé mon vit, et suis revenu pomper le foutre que cette attaque a fait exhaler ; j’ai sucé sa bouche, j’ai baisé ses fesses, sur lesquelles vous voyez les mar-