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ses contorsions. Le jeune homme, parfaitement excité par ce qui l’entoure, décharge bientôt au cul qui le chatouille : dès qu’il a fait, on le contraint aux mêmes marques de respect, auxquels il fut soumis en commençant : il s’éloigne ; mais Noirceuil, échauffé, veut être foutu ; son anus haletant, semble appeler des vits ; Cartouche et Desrues le sodomisent ; il baise, pendant ce tems, les fesses de Laïs et de Théodore, dont il ne peut, dit-il, se rassasier. Nichée sous lui, je le suce de toutes mes forces ; il paîtrit le cul des putains : foutu deux fois par chacun de ces hommes, allons, dit-il, essayons du rôle d’époux ; après avoir si bien rempli celui de femme, ne suis-je donc pas digne de celui d’homme ?

On lui amène Euphorbe, son second fils. Je suis chargée de guider l’engin ; en trois secousses, le pucelage est au diable. Noirceuil, qui se retire sans décharger, desire ardemment Fontanges au sortir de là. Ce sont les putains qui la lui conduisent, et qui guident l’opération. Juliette, me dit-il, je voudrais que tu mordisses violemment le con de cette petite fille, pendant que je vais l’enculer ; et comme, lors de ma jouissance,