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Jetant alors un regard affreux sur Fontanges… qu’elle frémisse, dit-il, quand je lui ferai l’honneur de revenir m’occuper d’elle.

Laïs et Théodore, sont envoyées vers Phaon, le mari de Noirceuil et son fils à-la-fois ; elles réussissent bientôt à le faire bander, et l’amènent à Noirceuil, qui, courbé sur moi, présente nonchalamment le derrière au chaste époux que mes tribades lui conduisent ; je le branlais en dessous, pendant ce tems-là, et il gamahuchait le trou du cul des deux putains. Faites observer les cérémonies d’usage, dit-il aux conductrices de Phaon, et que ce jeune époux ne puisse cueillir les faveurs qui lui sont offertes, sans s’en rendre digne auparavant. Phaon s’agenouille, il adore religieusement le cul qu’on lui présente, le baise avec respect, se lève, et cédant aux mouvemens qui lui sont imprimés, le beau jeune homme s’introduit jusqu’aux couilles, au cul du cher papa. Membré comme un mulet, ses secousses font bientôt frétiller celui qui les reçoit, et le paillard se plait à contrefaire les cris, les plaintes et les simagrées de la jeune épouse qu’on dépucelle ; il soupire, il se plaint, rien ne devient plaisant comme