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sser ainsi désarçonner, saisit fortement les reins de la jeune fille, pousse avec violence, et disparaît, jusqu’aux couillons, dans ce cul frais et voluptueux. Ah ! bougre de Dieu ! s’écrie-t-il, m’y voilà, je défie Dieu ou ses foutus agens de m’empêcher de la sodomiser à présent… elle est foutue, la garce… Oh ! mon ami, le beau cul… il est d’un chaud… d’un étroit… Et sans les précautions de Célestine pour s’opposer aux cris de la patiente, on les aurait entendus d’une lieue. Rombeau, dit Rodin, encules ma fille sous mes yeux, et place-toi de manière à ce que je puisse manier ton cul pendant que tu foutras ; Marthe nous étrillera tous les deux. Attends, dit Rombeau, déranges-toi un instant ; c’est le plaisir d’une seconde attaque que je te prépare. Voici ce que je desire : Il faut placer ces deux demoiselles l’une sur l’autre ; Justine va se mettre à quatre pattes, les reins en l’air ; j’établirai ta fille sur cette base, les deux trous seront opposés, et nous les sonderons tous deux, en passant alternativement de l’une à l’autre : Marthe, comme tu le disais tout-à-l’heure, nous fustigera pendant l’opération, et ta sœur fixera l’attitude… De par tous les foutus Dieux du christianisme,