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the, viens trousser Léonore ; je veux baiser son cul près de celui de son frère ; cette réunion m’excitera… oui, voilà ce que c’est. Mais il manque quelque chose au tableau ; Rosalie, trousse Marthe, et place-toi de façon à ce que je puisse manier à-la-fois vos deux culs ; un instant, le tableau reste fixe. Mais Rodin avait trop de desirs, trop d’imagination, pour ne pas le varier promptement.

Voici comme le second s’arrange :

Sa sœur, agenouillée devant lui, suce son vit ; Léonore et Fierval se placent par échelon en face de sa bouche, en telle sorte qu’il puisse baiser à-la-fois, et celle du jeune homme et le trou du cul de la sœur ; de droite et de gauche il manie les fesses de Marthe et de Rosalie.

Essayons autre chose, dit-il encore au bout d’un instant ; il faut que je fouette, ce plaisir est inoui pour moi, je ne puis m’en rassasier. Léonore, voyons votre beau cul ; les baisers dont je viens de le couvrir n’ont fait qu’irriter en moi le desir de le traiter avec fureur ; mais je voudrais que votre frère commençât l’opération ; placé derrière lui, les verges à la main, je le traiterai durement, s’il a le