où il corrige ſes écoliers eſt la même que celle
où il jouit de nous ; voici la claſſe finie, c’eſt
l’heure où échauffé des préliminaires, il va venir
ſe dédommager de la contrainte que lui impoſe
quelquefois ſa prudence ; remets-toi où tu étais,
chere fille, & tes yeux vont tout découvrir.
Quelque peu curieuſe que je fuſſe de ces nouvelles horreurs, il valait pourtant mieux pour moi me rejetter dans ce cabinet que de me faire ſurprendre avec Roſalie pendant les claſſes ; Rodin en eût infailliblement conçu des ſoupçons. Je me place donc ; à peine y ſuis-je, que Rodin entre chez ſa fille, il la conduit dans celui dont il vient d’être queſtion, les deux femmes du logis s’y rendent ; & là, l’impudique Rodin n’ayant plus de meſures à garder, ſe livre à l’aiſe & ſans aucun voile à toutes les irrégularités de ſa débauche. Les deux payſannes, totalement nues, ſont fuſtigées à tour de bras ; pendant qu’il agit ſur une, l’autre le lui rend, & dans les intervalles, il accable des plus ſales careſſes, des plus effrénées, des plus dégoûtantes, le même autel dans Roſalie, qui élevée ſur un fauteuil le lui préſente un peu penchée ; vient enfin le tour de cette malheureuſe : Rodin l’attache au poteau comme ſes écolieres, & pendant que l’une après l’autre & quelquefois toutes deux enſemble, ſes femmes le déchirent lui-même, il fouette ſa fille, il la frappe depuis le milieu des reins, juſqu’aux bas des cuiſſes, en