d’un sur Dieu, d’un sur l’art de jouir, du projet
de trente-deux bordels d’hommes et de femmes
pour Paris, d’un traité de l’antiphysique, et de
deux romans, celui de Modose et celui d’Amélie,
de dix gros cahiers enfin, qui doivent, à l’impression,
rendre au moins vingt volumes[1].
Après un léger examen du roman de Valrose, destiné à former les mémoires d’Amélie de Volnange, j’en ai été très content, et l’ai mis au net. J’ai seulement fait l’observation qu’il y avait peut-être un peu des longueurs très susceptibles d’être retranchées, et qu’il ne fallait point placer chez Sénarpont des détails de fêtes qui peuvent, dans la suite, servir d’aventures[2]. Il faut décidément qu’Émilie soit nièce de Sénarpont et séduite par lui[3]. Il faut en avouer qu’elle est très bien en homme, et vous la promènerez ainsi, tantôt en homme, tantôt en femme, dans toutes