avoue qu’elle a un galant ; elle lui nomme[1] le
prieur du couvent qui réellement était amoureux
de cette femme. Pour faire consommer le crime
projeté par le confesseur, celui-ci a l’air de céder
sa maîtresse un soir à son prieur. Il vient au
rendez-vous ; le mari l’assassine ; le confesseur fait
poursuivre ; le mari se sauve et le confesseur reste
en possession de la femme.
ou le Jugement de Salomon
(Crimes de l’amour,
Une idem pour aller sous la Comtesse de Sancerre. Sans érotisme. — Un seigneur du château tenait rigoureusement à ce que tout le monde s’occupât dans sa maison, à ce que tous les domestiques et toutes les bêtes fussent scrupuleusement employés. Le matin il distribuait la besogne et grondait fort quand quelque chose manquait. Il s’aperçoit un jour que Jean, dont le devoir était d’aller tous les matins chercher de l’eau à la rivière avec un âne, ne remplissait pas sa besogne. Il demande où
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L’auteur de cette note n’étant mort qu’en 1985, le texte est sous droit d’auteur et n’est donc pas reproduit. (Note de l’éd.)