féré à Pélagie. Je le fus effectivement le 12. Le 13,
je vis Madame pour la première fois au parloir de
Pélagie ; elle avait l’air de craindre des cabales de
ma famille. Elle avait obtenu la permission de me
voir trois fois par décade. Je remarquai dans ses
discours beaucoup de contradictions, et je crus
comprendre dès lors que le système chiffral s’employait
contre moi comme à la Bastille.
Delphine, de Mme de Staël[1].
Histoire naturelle de la femme, suivie d’un Traité d’Hygiène, par J.-L. Moreau, 3 vol. in-8o avec 11 planches, 20 fr.
Histoire des Courtisanes de la Grèce.
Mémoires de Jeanne Vaubernier, comtesse du Barry, avec de grands détails et sa déclaration entre les deux guichets, après sa condamnation, 4 vol. in-12, 7 fr. 50 cent, chez Petit, libraire au Palais-Royal, ou chez Le Normand, imprimeur des Débats, rue des Prêtres-Saint-Germain-l’Auxerrois, la porte cochère vis-à-vis l’église, au premier sur le devant, n° 42.
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L’auteur de cette note n’étant mort qu’en 1985, le texte est sous droit d’auteur et n’est donc pas reproduit. (Note de l’éd.)