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frayant d’appeler du monde. — J’obéis donc, je retirai d’abord un bras, puis l’autre ; et ainsi toujours à genoux, mes vêtemens tombèrent jusqu’à la ceinture, cependant ses deux mains continuaient de presser ma gorge et de se promener sur mes épaules, sous mes bras, et généralement sur toutes les parties mises à nud ; il prit une de mes mains et la porta sur lui, mais je la retirai si vite que son dessein ne fut qu’imparfaitement accompli. Il me demanda si je n’avais point sur la peau quelques signes qui prouva que j’avais donné mon ame au diable, il examina en conséquence tout ce que l’état où j’étais, lui permit d’observer ; alors il me fit relever, et tenir droite entre ses jambes, il me dit qu’il fallait qu’il examina le reste de mon corps dans les mêmes intentions, je me défendis vivement, il me menaça de nouveau en m’ordonnant de lacher les rubans qui tenaient mes habits, afin qu’ils tombassent tout-à-fait. Et comme je m’obstinais à le refuser, il chercha vers ma ceinture, les