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qui arracheront de toi la vérité, ses mains se reportèrent alors sur mes deux seins, et ce fut en les saisissant à nud, non sans me faire une violente douleur, qu’il me raprocha de lui d’avantage ; me trouvant par cette secousse entièrement entre ses jambes, il écarta totalement le voile qui couvrait ma poitrine, et sur ce que je le priai de me laisser, il me dit qu’il allait me faire entièrement deshabiller, c’est contre la pudeur répondis-je, et vous me grondiez de l’avoir enfrainte. — Ce qui se fait au nom de Dieu n’offense jamais la pudeur, et ses mains que je n’osais plus contenir, ne m’attachant qu’à le calmer, s’égaraient indiscrètement sur ma gorge, mais d’une manière si brutale, qu’il me faisait frémir. Il redescendit mon corset de tous côtés, débarassa mes épaules des manches, et le buste entier, au moyen de cette manœuvre, se trouva nud à ses regards. Il me dit en ce moment de sortir tout à fait mes deux bras de ma robe, et sur mon refus, il me menaça d’un air ef-