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ébranler soudain jusqu’aux fondemens de la maison ; ô Valcour ! les cieux seront-ils toujours conjurés contre nous ?… On enfonce les portes, les fenêtres se hérissent de bayonnettes… les femmes s’évanouissent… Adieu, adieu, trop malheureux ami… Ah !… N’aurais-je donc jamais que des malheurs à t’apprendre !
Fin de la quatrième Partie.