Page:Sacher-Masoch - La Czarine noire et autres contes sur la flagellation, 1907.djvu/284

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
268
L’AMOUR CRUEL

— Elle ne m’en plaît que davantage, repartit le jeune homme. Quant au czar, je le hais deux fois, depuis que je connais sa femme.

Un marchand grec m’a parlé, un jour, d’une femme à cheveux d’or, pour laquelle des rois étaient partis en guerre et une grande résidence avait été la proie des flammes. Cela me sembla un conte ; aujourd’hui, je le crois.