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monnaie byzantine.

Taurus, confinait à la Cilicie et à la Pamphylie ; une partie étroite et resserrée de ce pays descendait jusqu’à la mer ; on y comptait pour villes principales Isaurie, Clibanus et Lalasis. La ville d’Isaurus, Isaura ou Isaurie la plus anciennement connue, était bâtie sur le versant du mont Taurus, entre la Lycaonie et la Cilicie. Diodore nous dit que cette cité ayant été assiégée par Perdiccas, les habitants s’ensevelirent courageusement sous ses ruines plutôt que de se rendre, et pour ne point tomber vivants entre les mains de leur ennemi. Bientôt cependant une nouvelle Isaurie s’éleva à peu près sur le même emplacement, mais elle fut encore détruite par le Romain Servilius. Enfin, à une époque postérieure, les Romains cédèrent la ville d’Isaurie, qui s’était relevée pour la troisième fois, à Antipater Darbæus, à la mort duquel elle passa définitivement sous la domination romaine avec la province dont elle était la capitale. »

Carthage. car. kar. kart. ct. krtϛ. kartaϛo, sur des monnaies des empereurs : Justin Ier — Justinien Ier — Tibère Constantin, — Maurice, — Focas, — Héraclius consul, — Héraclitis Ier, — Constant II, — Constant II, Constantin Pogonat, Héraclius et Tibère, — Constantin Pogonat, Héraclius et Tibère, — Justinien II Rhinotmète.

Alexandrie. αλεξ, sur des monnaies des empereurs : Anastase Ier, — Justin Ier, — Justiniener, — Tibère Constantin, — Maurice, — Héraclius, — Héraclius et Héraclius Constantin, — Héraclius, Héraclius Constantin et Héraclëonas, — Constant II, — Constantin IV Pogonat.

Oasis ou Abazis. abazi, sur une monnaie de Constantin Pogonat[1].

Constance ? (Chypre), kωn, sur une monnaie de Mauripe ;

  1. Steph. Byzant., υ. Αὔασις, πολις Αἰγύπτου. Ταύτην δὲ καὶ Ὄασιν καλοῦσιν, et Christop. Cellarius, pars tertia et ultima, lib. IV, cap. i, p. 68.