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INTRODUCTION. 33 ment à ce que la pagination n’étant pas indiquée, —·-— elle ne l°était primitivcmcnt nulle part dans le Gros- , bois, et celle qui s°y trouve maintenant est dedate ré- cente, -— on rfavait attaché, au moment de la reliure, aucune importance au classement des cahiers, qui visi·· blement n‘ont pas été toujours placés dans l`ordre dans lequel ils avaient été faits, car, par suite du peu d’at- tention_qu°on a eu à cet égard, des portions d`une même lettre ou d’un même fragment se trouvent, en quelques endroits, séparées et même très-éloignées les unes des autres. N 3° Que notre manuscrit ne contient pas une faute, une omission, une lacune, une erreur, un défaut quel- conque de copie, qui ne se retrouve dans le Grosbois, et que, particulièrement, toutes les Fautes qui présen- tent un caractère absolument individuel, absolument propre à notre copie, s`y trouvent fidèlement repro- duites. O O r A , 4° Qu’un nombre notable de Fautes, —-souvent très- singulières, ——qu`on rencontre dans Ie Grosbois, et qui ne se trouvent pas dans notre manuscrit, s`expliquent ce- pendant, sans dillîculté, par la vue de ce dernier, qui en a été la cause innocente, notamment dans plusieurs pas- sages que les corrections faites par la personne qui a pris soin de la collation, dont l1éC1`ll§ll1‘€, nous l`avons dit, est beaucoup moins nette que l'écritu1·e courante, rendaient plus diflieiles à lire : plusieurs de ces fautes seraient absolument inexplieables autrement. lfensemble de ces faits n`a laissé et ne pouvait lais- ser aucun doute dans notre esprit. La preuve qu`ils Mm: ms Szîv. Lau. twin, 3