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j DE MADAME DE SEVIGNÉ. 44; sera nullement perdue : le vicomte de Marsitlly " a 1 6,,54 ` voulu se charger d°un placet pour un neveu de M. Col- _ bert, qui le donnera à son oncle, avec succès, à ce qulil dit. Si cela n’est pas, l`autre semaine. Il  » voulut absolument que je lui laissasse faire encore cette tentative : vous n' erdrez rien- mais our la dili- Y P > If gence, elle ne règne pas dans cette ma1son‘. Vous avez fait tort à Parère°; il a tres-·bien agi dans toutes vos dernières allaires. ‘ Vos lettres de marquis' sont signées; mms le sceau est 11118 él,I`&Dg€ €\H`EilI‘C§ DOUS VCITOIIS si DOUS pouvons les faire passer gratis : c`est un opéra°! _ Vous êtes bien heureuse d°av0ir la bonne Serratoris ° auprès de vos enfants. Le petit marquis va-t-il à Arles? Nous prendrons votre Allemand dans quelques jours : il est fort joli; il noue mieux que moi ‘°. 4. Le vicomte de Mnrsilly (le nom est écrit Marcil!] dans le ma- nuscrit) s’était employé, dans une autre circonstance, pour Mme de Sévigné, auprès du marquis de Louvois; voyez la lettre du 26 août :675 (lettre 435, 3° alinéa, IV, S7).- 5. Au Trésor, qui ne payait que difücilement. 6. Voyez plus haut la note IO de la lettre 46,et la note 3 de la . lettre I2. i ____ 7. Il sagit toujours du marqnisat de Soutillanes; voyez pluslxaut la lettre 52, note 6, et la lettre 53, note 7. · 8. C·’est-à·<li1·e une chose très-difficile; sur cette locution pro- ` verbiale, voyez le Dictionnaire de Furetiè:-a, éd. de 1690, v° Omîna, ou se trouvent rapportés plusieurs exemples. g. Nous ignorons quelle est la personne désignée sous ce nom, très—nettement écrit dans le manuscrit, mais qui ne se retrouve nulle part ailleurs dans la correspondance; c'était peut-être sim- PICIHCDÈ HRC gO`I1VEl‘D8.I].l,E (ICS CI1làH'.S. .

0.- Il s’agît du jeune Allemand nommé Autremmt, dont il ai été

déjà question plus haut (voyez la lettre 52, note 4). Dans mie lettre précédente (lettre 585, 5° alinéa, V, gz et gz), Mme de Sévigné avait dit : « Je lui apprends (au jeune Allemand) à nouer des ru- bans. » On nouait, à cette époque, force rubans aux habits, et dé- tait une affaire.