Page:Sévigné Lettres édition Capmas 1876 tome 1.djvu/404

Cette page n’a pas encore été corrigée

1 388 LETTRES INÉDITES ,69, 5 peine de M. d’Harouys" ; on nous a mande que M. Col- bert avoit donné à prendre de grosses sommes sur lui, il i sans miséricorde : cela fait sai ner le cœur 'e vous en 8 1 .l manderai des no11velles°. c , Mme de Villars me paroit, Fort contente de vous. La nourrice° ne vous hrouillera point ensemble; mes gens sont ravis qu’elle soit revenue : elle se iaisoit haïr de tout le monde. Vos enfants sont admirables du peu d`attacl1ement qu`ils ont aux choses de ce monde; de quel côté tien- nent-ils cette noble indiiierence? Jamais unenfant d'un an n'a pris un autre téton comme Pauline". W a AU conrrs DE GMGNAN. i oNsmUn DE RIGNAN , le me ré`0uis e a assion Ni G J _ _] d 1 p (I'l1’0I1 a pour vous dans votre gouvernement; c°€s|: une valier de ce nom, et un lévêque, ancien aumônier du Roi et depuis évêque d’Aleth, puis de Saint-Onicr. Il y avait aussi un Léon de Vulbclle, marquis de Moutfuron, qui avait épousé Marie de Buous, cousine germaine cle M. de Grignan; voyez la note 3 cle la let- tre 311 (III, x83), et la note 1:3 dela lettre 372 (III, 380). 4. Guillaume d’Har0nys, seigneur de la Seilleraye, trésorier gé- néral des États de Bretagne, cousin, par alliance, de Mme de Sévi- gné; voyez la note 14 de la lettre 146 (II, 1 16) et la note ag de la lettre 354 (III, 305)- Mme de Sévigné avait déjà fait allusion antérieurement aux embarras pécuniaires du trésorier général des États de Bretagne- voyez la letu·e_i163, du 30 octobre précédent, note 13 (IV, 208). Le dérangement des affaires de M. ~cl’Harouys ne devint complet et ne fut rendu public que beaucoup plus tard; voyez la lettre xo5t,.n0te 20 (VHI, :51 et 152), et la lettre 1158, note 13 (VIII, 563). 5. Voyezla fiu dulsecond alinéa de la lettre 469 (IV, 2Ã2)· , 6. La nourrice de Pauline. On n. vu plus haut (lettre 35, fin du 6** alinéa, notes '14 et 15) que cette nourrice avait éte prise à la re- commandation de la marquise de Villars. 1 7. A qui on s’était décidé à donner une nouvelle nourrice; voyez la note précédente. . A t ’ , ·