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350 LETTRES INÉDITES """"—' • • • • s 1 I 6_ 5 uivotent voulu, et [dtscntl qulils craignent leclut. Nous I verrous s'ils nous refuseront les sûretés quine dépen- dent ue d eux et de leur famille. Je vous manderau — q.. . , ~ , . . vendredi ce qtu s y sera passe, et du Jugement aussi de votre petit procès", qu’il a fallu ressolliciter" : il ne faut pas quitter d'un jour ees sortes d‘all`aires; vous voyez comme elles vont doucement, quoiqu'or1 y uit la l dernière application. . . . Vous êtes cruelle, ma bonne, de dire que j`étois in- commodée de vous àvoir ici. Faut-il que vous conuois- siez si peu la sorte d`amitié que j’aî pour vous, et la joie sensible que j’avois à tout moment de vous y voir! Tout cle bon, je suis étonnée que vous me disiez de ces sortes de choses··là; je ne les mérite pas. Cest encore une belle chose, que de craindre que je ne sois À ' 1 embarrassce des lettres que le Chevalier m adresse pour vous"! Je l'en ai prié; ce m’est un plaisir; et j°ad- mire comme vous pouvez me méconuoître au point que vous faites : je perds beaucoup", que vous pensiez de moi comme de toutesles eommères d’un quartier! Je ne finirois point, si je voulois vous dire toutes les · doucetus des Villars : vous en êtes honorée, estimée et aimée, je vous en assure.` M. de Saiu1:—Gérar1 il con- xg août suivant (lettre 432, IV, 67), et plus loin, dans ce recueil, la . lettre 36, note 15. . . . 13. Le procès Ventadour; voyez plus haut la note g de la let- tre 30. -. 14. Ce mot, croyons-nous, ne se rencontre pas ailleurs dans la correspondance de Mme de Sévigné, et Pusage, par raison d’eu- phonie sans doute, n’en a pas consacré Pemploi. l

5. Voyez plus l1a'ut la note I4 de la lettre 26.

I6. Le verbe perdre a ici, croyons-nous, le sens de baisser; Mme de Sévigné a voulu dire, nous semble-t-il : et Je baisse donc beau- coup que, etc. » Peut-être aussi Faut-}`! lire à la En de la phrase, (Ill qllû! ÉEEJ', RU. llell dlllll qU(U’Éî(!}" qui SC U‘OùV€ dB.DS le manuscrit 17._ Bernard de la Guiche, comte de Saint-Gémn, parent du