268 LETTRES INÉDITES ·· x démêlée devant nos yeux. Bîppert est présentement à " Versailles; son retotu~ confirmera toutes choses, et je Fattenclrai pour finir me lettre, e’est-à-dire pour la fermer. Tai vu Mme clu,Puy-du-Fou ; fui vu Mme de Crus- sol, Mme Cle Szunt·Étieune, Miles de Griguau‘ : l'eî·- • · . · · · ! mee est sa mère toute faute. Mme de Walavonre m'est venue cl1e1·cl1er; je 111'en vais la voir après dîner. _ Je ne vous (llS point ce que m est tout ce qui a rap—~ port à vous, et l’ell`et que m`a fuit Hippert, tout cela
est facile à xmagmerg m toutes les \’lSllZGS, n1 tous les
I lmisemains, ni toutes les conversations ou vous êtes cé- « lébrée, ui les louanges extrêmes que Fon dit de vous dans les meilleurs lieux du monde, les dill`érenccs, les préférences, les comparaisons avantageuses zje ue fini- rois point, ce seroit la matière (lati!] juste volume. A sept heures du soir. J’m·rive de la ville : je n°ai point trouvé Mme de Vu-
lzivoire; j’ai vu sa sœur"', e’est de même : je la retrou-
verai un autre jour. .l`ài envoyé querir votre lettre à la i poste; j'étois chez Mme de Villars"; ce que mon cœur Sent en recevzmt vos lettres est (ligue lle la P1'Ol`OD(lC' tendresse que jlai pour Vous. A 111012 retour icl, Hippert S. Il s'agit sans doute ici, non des filles, mais cles sœurs du comte cle Grignan; voyez plus bas la note 1,4. Sur Mme de Crussol, voyez la note 8 de la lettre x52 (II, uiô). Sur Mme de Saint-Etienne, clou:. le nom ne figure pas ailleurs dans la correspondance, nous rünvons aucun renseignement. g. Marie Amat, marquise de Valavoire; voyez la note TI de lu lettre 174 (II, 252). IO. Mme de `Valavoire avait deux sœurs, la marquise cle Bastin- val et Mme de Forbiu Sollers; il s’agit sans doute ici de la pre- mière; voyez la lettre 249, note 2 (II, 505}. · . 11. Marie Gigault. de Bellefonds, mztrquisc de Villars, mère du vainqueur de Denain; voyez la Notice, page :56, et la note I2 de- 1:1 lettre 80 (I, Sm).
