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INTRODUCTION. 219 Nous nous bornerons donc , pour clore notre long récit, à dire comment notre recueil s'est formé, quelles raisons nous ont déterminé à le publier, et de quoi il se compose. Ce n’est'pas, on l`a déjà vu plus hautl, du premier coup ni dès le premier jour que nous avons pu nous rendre compte des 'trésors inespérés cachés sous la mo- deste enveloppe de notre ancienne copie. Objet de nos premieres recherches, le premier vog- lume, reproduit en entier dans le Grosbois, ne nous avait naturellement fait découvrir aucune lettre , ni même aucun fragment de quelque étendue, qui ne fût déjà connu et publié. Il nous avait cependant fait re- trouvcr quelques lignes précieuses , sautées par inad- vertance.pax· le négligent copiste, quelques mots, égale- ment oznis ou laissés en blanc, et.? il offrait en outre, dans plusieurs passages, que le malheureux scribe avait altérée sans le vouloir, des leçons nouvelles, des lecons réparatrices, cl`uu grand intérêt. Ces premiers résultats sufhrent pour nous exciter à poursuivre nos investiga- tions : c’était comme.l’entrée lune mine, dont la ri- chesse ne se décèle d°abo1·d que par quelques paillet- tes brillantes, éparses cà et la sur le sol, mais qui font espérer qu’en creusant plus profondément ou trouvera davantage; A partir dursccond volume, en e&`et, et de plus en plus dans les volumes suivants; jusqu’:1u dernier, le x. Pages 30 et`31. _