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I n I 198 INTRODUCTION. I .7 • 1 Y ' ° E double merite d eelzureir un passage obscur d une lettre qu’il ne reproduit pas, et de fournir le moyen d’en ree- tilier le texte. Il est en efïet de toute evidence, ce nous semble, que le passage rapporté plus haut devra désor- mais être 1mpr1mé a1ns1* : · « .... Il ûzut pâmcr de rire de ce que vous dites de Fair ita- lien; le massacre que vos chantres en font est un martyre pour ce pauvre Vorrei. Vous souvîent—il du lieu, etc.? >> Cet exemple ne détruit pas le système de M. Mon- mer né · il ne rouve as e les Jassaees ue Perrin (I v . l 1-: ll avait insérés dans sa remière édition et u’il u'a as P maintenus dans la seconde, ne faisaient pas partie, en I I ‘ ' ' general du moins, des originaux, et qu°011 a eu tort de les faire revivre; mais il prouve que ces passages, quand. ils sont obscurs, peuvent être assez justement soupçonnés d'alteration. I Un autre passage assez piquant, dont le sens était perdu pour nous, se trouve dans la lettre du 26 mars ` . ' . n 1680, qui ne figure pas dans le nouveau manuscrit, mais que ce dernier cependant aura le mérite d`éclair- I cir, en cet endroit, par des passages d’une autre lettre, I qu"il nous a heureusement conservée, et qui était restée jusqu`à ce jour totalement inconnue. Dans la lettre pré- citée du 26 mars Mme de Sévigné dit à sa fille g _ « Le ehevaIîe1·’· fait bien de vous divertir par toutes les I. Si on ne réfère suivre la lecon mutilée donnée ar Perrin P · P dans sa seconde édition. . . . I 2. Le chevalier de Grigmui, qui étant alors a Paris.