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INTRODUCTION. 133 second fragment, ont cru et dû croire que celui qui lui était substitué dans le texte de Perrin, malgré la grande _ ' ' I I . Y · I diverszte des termes, n’en etait qu une infidèle repro- duction, qui devait céder la place au texte primitif, lieu- reusement retrouvé. Le Grosloois n`ayant pas reproduit le premier fragment, il était en eflet impossible de dé- couvrir, dans tous ses détails, le double travail de trans- position et d'altération auquel s°étaît livré l’ancieu éditeur. Mais, non-seulement les éditeurs ont expulsé le texte de Perrin, ce qui 11 étant que _|uSt1cc, mais, con- trairement à leur habitude, ils n'en ont pas même fait mention en note, ce qui était peut-être trop, et ce qui a failli nous faire commettre une méprise et nous faire donner comme inédit ce qui absolument ne l’était pas. Quittons Perrin, sur lequel nous aurions encore tant de choses à dire ‘, mais qui nous attarderait trop long- temps, et dont les `nombreuses infidelités ne sont igno- rées de personne : nous le rencontrerons (Tailleurs plus I ' \ 'Ã d une FOIS encore sur notre route. Passons a la derntere O source, — source nouvelle et jttsqrfalors inconnue, -#- mise si utilement à profit par les derniers éditeurs, le manuscrit de Grosbois. L En plusieurs endroits, Perrin a substitué aux noms propres, que Mme de Sévigné avait écrits en toutes lettres, de simples ini- tiales, et assez souvent, en pareil cas, Péditeur, dans sa seconde édition, a donné en note le nom. entier qu’il a continué, dans le texte, à ne représenter que par la lettre initiale : plusieurs de ses notes n’ont pas d’autre origine. Notre manuscrit donne presque partout les noms entiers, et on devra à sa fidélité plus d’nne pi- quante révélation : on en trouvera un exemple curieux dans le pa- ragraphe suivant; voyez plus loin, p. 206 et suivantes.