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4° Etre EN LA main DE, à la disposition de
Je ne m’endors pas auprès de Mme de Coulanges et de l’abbé Têtu cette route est bien disposée et fort en notre main; mais il faut ménager longtemps avant que d’entreprendre quelque chose d’utile. (IIï, ~7"’)
S-" Êtb-s 1 LA MAIN, à portée
Si vf>s promenades itoient à lamain comme les nôtres, vous en feriez le méme usage, (VI, 5o4>)
La promenade est si fort la main. que l’on est dix fois dans le jardin, et dix fois l’on en revient. (V, 227.)
MAINTENIR.
On reparla encore de cepauere billet. Jelesoutins con forme à no tre amitié; on me la disputa, je la maintins. (Autogr. VII, a6l.) MAÎTRE.
J’aime fort la liberté et le libertinage de votre vie et de vos repas et qu’un coup de marteau ne soit pas votre mattre. (IX, i38.) Dans le temps que nous voulons la députation pour mon fils dont apparemment M. de Chaulnes sera le maitre cette année. (IX, i36, 137.) v
Elle est fort belle et de la main de maltre. (B. VIII, 5o.) II s’agit de l’oraison funèbre du grand Condé par Bossuet.
MAÎTRESSE, proverbialement
Vous savez ce que dit l’abbé d’Effiat; il a épousé sa maîtresse il aimoit Véret quand il n’étoit pas obligé d’y demeurer; il ne peut plus y durer, parce qu’il n’ose en sortir. (V, 254.)
MAL.
Elle (ma fille) me mande. qu’elle n’a point de mal à la poitrine. (Autogr. VI, 406.) r
J’ai compris que vous aviez bien plus de mal aux jambes l’ordinaire. (VI, 55.)
si vous pouvez épargner Pasgerant, f en serai bien aise; mais pour la Jarie, je vous prie de lui faire non-seulement toute la peur, mais encore lé mal, s il en faut venir là. (Autogr. VIII, ï5.)
Le mari de votre nourrice vint avant-hier crier miséricorde au logis, que sa femme lui avoit mandé. qu’on l’avoit accusée d’avoir du mal. Il s’emporta, et dit qu’après l’honneur il n’y avoit plus rien, que si sa femme avoit du mal, elle étoit, etc. (Gr. IV, 73 )
