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5aa EXTRAITS DES LETTRES [CON

CONNOÎTRE QUE

Il (Termes) vous définit si bien toutes deux que je connus qu’il vous avoit fort examinées. (Bussy, IX, 5i6.)

Il y a longtemps que j’ai connu que vous aviez de l’esprit. (Bussy, IX, 5*4.)

CONSÉQUENCE.

Cela pouvoit tirer à conséquence. (Bussy, VII, 475.)

Il (le Pot) ne croira pas que cela tire à conséquence d’accorder ma requête. (Bussy, VIII, 8a.)

e CONSOLER (SE).

Quand un homme de qualité a fait beaucoup plus qu’il ne faut pour être maréchal de France, et que des ennemis puissants lui ont fait perdre tous ses services. il prend patience, et il se console en sa propre vertu. (Bussy, VII, 147, 148.)

CONSULTER À

Cela m’a mis en peine pour l’avenir, et m’a obligé de consulter votre mal à un habile médecin de ce pays-ci. (Bussy, III, 412-) CONTENTEMENT.

Peut-être que si je m’en souciois beaucoup, j’aurois contentement sur l’honneur de ma mémoire, et que la postérité parleroit de moi plus honorablement que de tel prince ou maréchal de France que nous connoissons. (Bussy, III, 435.)

CORRECTIF.

Il y a un peu plus de damnation à tout cela (une société agréable et des opéras nouveaux) que de salut; mais je demande le P. Bourdaloue pour le correctif de tout le reste. (Bussy, V, 827.) COULEUVRE, proverbialement

On m’a fait avaler huit ans durant tant de couleuvres, dont je ne me vantois pas. (Bussy, I, 491.)

COUP.

S’il (mon fils) ne remet pas la fortune dans notre maison. je crois que ce ne sera pas un coup sûr de dire que c’est faute de me’rite la fortune n’est pas délicate en ses inclinations. (Bussy, VII, 59.)