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PRI] DE MADAME DE SÉVIGNÉ. a57

Mme de Sévigke. XIV 17

Je vous prie que tout ceci ne passe point vous et îlme de Guitaut. (Autogr. VII, 235.)

Il (Ch. de Sévigné) me prie que je le redresse je le fais comme une amie. (Gr. II, 177.)

Priez-moi en même temps que je ne vous aime guère. (Gr. II, 321.)

Elle {Mme de Marans) nous pria qu’elle pût venir avec nous passer le soir chez son fils. (II, 141.)

C’est-à-dire, chez la Rochefoucauld, qui par badinage appelait Mme de Marans sa mère.

PRIERE.

Cette unique et adorable prière à Jésus-Christ, de lui demander miséricorde. (Gr. VIII, 271.)

Ce qui déconcerta entièrement la gravité de la cérémonie (de la réception des chevaliers du Saint-Esprit), ce fut la négligence du bon d’Hocquincourt. Les chausses de page étant moins commodes que celles qu’il a d’ordinaire, sa chemise ne voulut jamais y demeurer, quelque prière qu’il lui en fît. (Gr. VIII, 377.)

PRIME, terme de jeu (au figuré)

C’est brûler à petit feu, ce me semble, que de savourer ainsi dix ou douze jours une violente inquiétude; c’est tirer son jeu à petite prime. (V, 20.)

Voyez la note i de la page indiquée.

PRINCIPE.

On n’est point au diable parce. qu’au fond on a un principe de religion. (Gr. II, 244.)

PRINTEMPS.

Les coiffures hurlubrelu m’ont fort divertie il y en a que l’on voudroit souffleter. La Choiseul ressembloit, comme dit Ninon, à un printemps d’hôtellerie comme deux gouttes d’eau. (1726, 11, i3(î.)]g! PRIS, voyez Prendre.

PRISE.

ï° Action de prendre

L’enlèvement de la princesse d’Orange,ret la prise de son mari sont à faire rire. (VIII, 444.)

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