PET] DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 205
Je trouve que l’on ne fait pas grand scrupule de peser sur vous. (IX, 317.)
Je ne sais comme on peut inhumainement «ejersur les gens qu’on doit aimer. (VIII, 104.) U
a0 Insister sur
Je pèse sur l’agrément et sur l’utilité même de cette sorte de vivacité. (VIII, 316.)
PESTE.
L’illustre fille dont j’ai à vous entretenir {Mlle du Plessis).a a eu une manière de peste sous le bras qui l’a retenue longtemps chez elle. (Ch. de Sévigné, IV, 367.)
PETILLER, être plein d’impatience
Leducd’Estréespoussoitunpeuloinlesreproches. Leducde Charost petilloit, et lui dit. (Gr. VIIL. 555.)
Je ne sais où j’en suis par la maladie de ma tante. L’abbé et moi nous petillons et nous sommes résolus, si son mat se tourne en langueur, de nous en aller en Provence. (Gr. III, 5.) PETIT, TE.
i° Court
Cette séparation, quoique petite, lui coûte beaucoup (à S abbé de Coulanges), et je crains pour sa santé. (IV, 44».)
a0 Insuffisant
Je ne sais que vous dire de mon amitié, les paroles me manquent, je les trouve trop petites. (VIII, ai6.)
3° Qui n’est pas aVancé
Je ne souhaite au monde que de guérir, afin de partir dans le trèsDetit commencement de septembre. (VII, 43i.)
4° PETIT, substantivement, enfant
Comme il (le jeune marquis de Grignan) aura dix-huit ans, il faudroit tout d’un train songer à le marier, en avoir des petits, et puis le renvoyer. (IX, lai.)
Consolez-vous du petit. Il est mort des dents. (V, 217.)