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166 LÈXÏQTiE DE LA LANGUE [PÀ<2

Il (le chevalier de Grignan) est entouré de la meilleure compagnie qu’il puisse souhaiter, sans être’ interrompu de ces cruelles visites, de ces paquets de chenilles, qui lui donnoient la goutte. (IX, lai.)’ PAR.

i° Pour, à cause de

Je lui ai depuis des obligations toutes particulières, par la peine qu’il a prise d’une chose dont je Pavois prié. (Autogr. I, 3y5.) Notre cher d’Hacqueville, qui. entre plus que personne dans la tendresse infinie que f ai pour vous je ne sais si c’est par celle qu’il a pour vous, ou par celle qu’il a pour moi, ou par toutes les deux. (Autogr. II, 347.) Il (ce miroir) est à vous par bien des titres. (Autogr. VII, 3pg.) Quand nous avons fini de vous louer par tout ce que vous avez de louable, nous pleurons sur votre malheur et sur l’abime où votre étoile vous a jeté. (B. III, 164.)

Vous serez trop heureux de l’avoir (la jar mille raisons. (Gr. IV, 81.)

Je compte d’être cet hiver à Paris, et de vous aimer toujours, par bien des raisons. (B. IX, 5ai.)

Cela est fâcheux par bien des raisons. (VII, 411.)

C’est par cette raison que M. de Montecuculi n’a pas voulu se mettre en campagne. (IV, 4ig.)

Avignon, dont je ne parle point par vos mêmes raisons. vient à propos pour votre enfant. (VIII, 459-)

Je suis fort contente des soins de tous vos Grignans: je les aime, et leurs amitiés me sont nécessaires par d’autres raisons encore que par leur mérite. (V, 189.)

Je suis toujours en peine de notre cardinal (de Retz) il me cache ses maux par l’intérêt qu’il sait que j’y prends. (172e, IV, 494, 49S.) Je viens de lui écrire (au cardinal de Souillon) un billet qui m’a paru bon: je lui dis par avance votre affliction, et par son intérêt, et par l’admiration que vous aviez pour le héros (Turenne). (ÏV; 3.| Iln’y a que vous à plaindre, par la sensibilité de votre cœur et’pà’rla vivacité de votre imagination. (VII, 101.) ’0"-

Le roi de Pologne déclarant la guerre à l’Empereur par vingt sujets de plainte. (IX, i5.)

Vous me priez. de me purger et justement; sans aucun besoin, seulement par les probabilités du carême et du long temps quejè n’y avois pensé, je me disposois à prendre ma poudre et ma marine des capucins. (IX, 56.)

Voyez encore V, aog "VII, I ÏO Viîïi ^7!», et p’àiiim.