68 TABLE ALPHABÉTIQUE ET A1NALYTIQU.E
précédents, XI, 62, 69, 78, < 85, 23g. ( Gadïère, moine jacobin ou dominicain, frère des précédents, < XI, 54, 61 et 62, 69, 73, 78,
85, 91, a3g.
Cadix (la ville de), XI, 234. Caek (la ville de), VIII, 123; IX, i5, 38, 39,43. Ses pou-
lardes, VIII, 454. Mme de ̃
Sévigné est charmée de cette
ville, IX, 42. Une jeune
fille a failli y être enterrée vive, X, 172-
Ca fé (le). Mme de’ Grignan et Mlle de Méri y renoncent; ce
qu’en pense Mme de Sévigné,
IV, 443 et 444. Du Chesne
en défend l’usage, VI, 78, i85,
a65. II faut le sucrer avec
du miel de Narbonne, VI, 182,
iS5. Effets qu’il produit,
VI, a65 et 266. Le cheva-
lier de Grignan trouve qu’il
échauffe et n’en prend plus;
Mme de Sévigné l’abandonne
aussi, VIII, 234, 202^ 281 et
282. Elle conseille à sa fille
de n’en plus prendre, IX, 365.
Aliot et Dubois en approu-
vent l’usage, quand on te mêle
avec de la crème et du sucre,
LX, 435. Mme de Sévigné
prend du café au lait tous les
dimanches pendant le carême,
IX, 461 et 462. Elle n’en
est pas encore dégoûtée, IX, 475. II s’accorde fort bien
avec la germandrée, X, 3oa.
Mme de Coulanges en prend
beaucoup, X, 319 et 320.
Le mal de Mme de Lesdi-
guières est trop grand pour qu’on puisse l’attribuer au café;
Catinat l’a abandonné pour le
chocolat, X, 5oa.
Cafdt, VII, 314.
Cauobs (l’évêque de). Voyez Noaillés (l’abbé de).
Cailly (de), mari d’une cousine de Mme de Sévigné, VI, m;
XI, xxi (?).
Cailly (Mme de), femme du précédent, cousine de Mme de
Sévigné, VI, ni.
Calais (la ville et le port de), II, 5a6 VIII, 44o, 445 et 446,
461. Louis XIV y envoie ses
carrosses au-devant de la reine
d’Angleterre, VIII, 352, 354-
Le roi d’Angleterre y est,
VIII, 366 et 367. La flotte
du prince d’Orange s’est ap-
prochée de cette ville, X, 375.
Calamleau (la poudre de), II, 49^’ Calibeau (l’abbé). Mme de Simiane le recommande à d’Hé-
ricourt, XI, igi.
Calpkenèdb (Gautier de Costes de la), IV, 342 V, i45. Allu-
sion à son roman de Cléopaùre, I, 37o, 498; 11,248’; IV, 71
et 72 V, 277 VII, 3a6.
Mme de Sévigné lit ce roman;
jugement qu’elle en porte, II,
258, 263, 267, 270, 274, 277
et 278, 280, 3i3 IX, 3i5.
Son Phàramond ne plaît pas à
Mme de Sévigné, IV, 290.
CALVAIRE (la supérieure du couvent des filles du), III, a3o.
Calvin (Jean), IX, 3o2
Calvissow. Voyez Caxjvisson.
Calvo (le comte de), gouverneur de Maestricht en l’absence du
maréchal d’Estrades. Sortie
qu’il commande, IV, 558.
II n’a pas assez de troupes, V,
35. Récompenses que le
Roi lui accorde après la déli-
vrance de Maestricht, V, 46.
Nanteuil voudrait le pein-
t. C’est à tort, pensons-nous, qu’on a cru voir dans ce passage une allusion à une héroïne de L’Àrioste.