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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 611

Villeneuve. Mme de Sévigné parle de lui comme d’un des souvenirs qu’elle a gardés de Livry, IX, 344.

ViLtEKEcvE-tA-GiTYAKD entre Moret et Sens, V, 171,

Villehecve-ije-Roï, entre Sens et Joigny, V, 275, 279.

Villekebve Saint Georges. Mme de Sévigné doit aller au-devant de sa fille, V, iS5. Elle y passe en allant à Vichy, V, 276.

Vili,eqtjier (Louis marquis de), due d’Aumont après la mort de son père. Sa belle-mère ne doit pas être une Phèdre pour lui, VII, 320 et 32 1. Brouille entre lui et Barbesieux, X, 445.. Vduueeoi (le château de), près de Corbeil, Le feu y cause un grand dommage, VIII, i5a. Coulanges et Mme de Louvois vont y aller, X, 3qS.

Viulbboi (Nicolas de Neuf ville, marquis, puis duc de), maréchal de France, gouverneur de Louis XIV, le père du Charmant, III, 44, o6, 478; VII, 311, 480. Il dit que les lettres du comte de Grignan sont admirées dans le conseil, II, 492. Le Roi lui donne à entendre que l’exil de son fils ne sera pas long, II, 5o3. Il ne peut obtenir le retour de son fils à l’armée, III, 10. Sa réflexion sur Penautier, IV, 55a. Ce qu’il dit des personnes compromises dans l’affaire des poisons, VI, 226, 22g. Il ne voulait pas croire que saint François de Sales fût canonisé, parce qu’il avait dîné j souvent avec lui, IX 38o.

ViixEROi (Madeleine de Créquy, marquise, puis duchesse st >

maréchale de), femme du précédent, petite-fille du connétable de Lesdiguières, fille du maréchal Charles de Créquy. Elle est à l’extrémité, III, 99.– Elle est mieux, IU, 104. Villeeoi (François de Neufville, marquis, puis duc de), fils des précédents, maréchal de France, plus tard gouverneur de Louis XV, souvent appelé le Charmant, IL, 498; III, 162, i63, igo, 242 IV, 270, 308; VI, 222; X, 181, 247, 297, 3a6. Il assiste à une représentation de Bajazet, II, 472. Il est exilé à Lyon, II, 496, 5oo et Soi. Le Roi donne à entendre à son père que cet exil ne sera pas long, II, 5o3. Son père ne peut obtenir son rappel, III, 10. De. quelle manière Mme de Coulanges compte se conduire avec lui à Lyon; il est désolé de ne point aller à la guerre, III, 17. Ses bons rapports avec M. et Mme de Coulanges, III, 74, 97. Il s’en va servir dans l’armée de l’électeur de Cologne, III, 103; le Roi lui fait dire de revenir à Lyon, III, T22. Il regrette de n’avoir pas vu Mme de Sévigné à Lyon; passion de Mme Solus pour lui; il veut aller à Grignan, III, 160 et 161. Sa tristesse; ses amours, III, 169-171, ig3, 197 et I98. Il entre dans tous les tracas du comte de Grignan, III, 33g. Il ne peut se consoler de la mort de Turenne, IV, 34, 4^- Prix qu’il attachait à l’amitié de Turenné, IX, 45. Ses frayeurs quand il était petit, IV, 433 et 434(?). Il commande la petite armée qui est à Charleville, IV, 5r6.