Si4 TABLE ALPHABETIQUE ET ANALYTIQUE
Mme de Sévigné.
et 54i; VII, 458; VIII, 3 et 4. Elle craint la mort Bussy cherche à la guérir de cette crainte, IV, 170, 187 et 188. Si ses affections ne la retenaient, ellequitterait volontiers la vie, VI, 54o et S41. (Voyez ci-après, p. 5 17-520, l’article SA santé.) Sa mort; douleur qu’elle cause, X, 385, 386, 387, 388, 389, 39I, 392, 393 et 394, 397, 400, 402, 406, 411, 429 sa fermeté et sa soumission en présence de la mort, X, 3g4. Elle avoue qu’elle ne peut être indifférente à l’estime ou à l’iinprobation du monde, II, 4°5, 4°6, 4°7* -Elle aime à n’être comptée pour rien, V, 34. Elle est conciliante, VI, 41. Elle croit que personne n’a plus de facilité qu’elle dans le commerce de la vie, VII, 124 et iz5. Elle n’est mal avec personne, IX, 48- Agrément de son amitié, IX, 52; X, 3go. Termes est convenu avec Bussy qu’elle était la femme de France du plus agréable commerce, IX; 5i5 et 5i6. -Au travers de toutes ses maximes, elle conserve toujours beaucoup de faiblesse humaine, VII, i43. Ce qu’elle dit de sa .faiblesse, VII, 242. Elle n’est faible, lui dit Bussy, que parce qu’on l’a élevée à la faiblesse, VII, 245. Elle tâche de ne faire de projets que le moins qu’il lui est possible, VII, 424. Elle ne connait pas l’inconstance, IV, 212; ni la patience, IV, 386. Chaugement que la maladie a produit dans son caractère, IV, 4i3, 496. Sa bonne humeur, V, 58. Bussy lui conseille de se tenir l’esprit
gai, VII, 483; IX, 478. Elle veut renoncer à la délicatesse, V, 272. Elle n’est pas habile, mais sage et docile, VI, 469. Sa facilité à se laisser tromper, VI, 474 et 475. Elle essaye de se corriger de ses frayeurs, VI, 506. Son imagination, VI, 357. Elle hait la contrainte, VI, 538. Ce qu’elle dit de l’ingratitude, II, 4g, 169, 54o; III, 385 et 386 IV, 397; VII, 4or; IX, 258; de l’espérance, II, 5ifi; IV, 126 et 127. Elle veut qu’en vieillissant on regagne du côte’ des bonnes qualités ce qu’on perd du côté des agréables, II, 38l et 38a. ̃̃ Ses Réflexions sur les maux de la vie, III, 52 et 53, 56 et 57, 74, 77 et 78; sur l’ennui, IV, 101 et 102. Application qu’elle fait d’un principe de Solon, IV, 275. Elle juge celui qui est en colère et qui le dit préférable à celui qui le cache, IV, 335. Elle met au premier rang du bon ou du mauvais tout ce qui vient du cœur, IV, 500. Ce qu’elle dit de la prudence humaine, V, 235, 5o8. Elle trouve la réputation des hommes plus délicate et blonde que celle des femmes, V, 287. Son avis sur les Pyrrhoniens, V, 241; sur les bonnes et les mauvaises compagnies, V, 271; pourquoi elle trouve qu’une mauvaise compagnie est meilleure qu’une bonne, II, 258; VI, 429 et 43o, 480; IX, 241. Elle pense, comme sa fille, que c’est dans les petites choses qu’on témoigne son amitié, V, 362. Ce qu’elle dit de la bassette, V, 5o5, 507. A quoi