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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ. 5i3

Mme de SÈvicKjÉ, XII 33

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en Mme de Sévigné. ;iie

sa Sa personne, son Se caractère, etc. H-

îur

forme de sa santé, I, 422 et 423.

Servien (Marie-Antoinette), fille du précédent. Voyez Sully (la duchesse de).

Sestiane, personnage des Visionnaires de Desmarets, II, 177.

Sevarambes (les), peuple imaginaire, V, 186.

Sévigkê (Renaud de), oncle par alliance de Mme de Sévigné, III, 86, 869. II envoie un livre à Mme de Grignan, II, 5a3 et 524. Cfelle-ci le -voit à Port-Royal, III, 38g. Sa mort, IV, 38g. Ce qui revient de sa succession à Mme de Grignan, IV, 443.

Sévigsé ( Henri marquis de ) mari de Mme de Sévigné, neveu du précédent, maréchal de camp et lieutenant de Fougères, I, 37o (?), 389; IV, 189 et 190 (?). Noblesse de sa famille, I, 53i et 532, 533, 535, 538 et 53g. Abtme où il a laissé sa veuve, VIII, 88, 128. Sévighé (Marie de Rabutin Chantal, marquise de), femme du précédent. Sa itlbsoote, SON CARACTÈRE, SES OPINIONS, SES RÉFLEXIONS, SON ESPRIT, SES LECTURES, SES OOtfIS, SA BELIGIOK ET SA DÉYOTIQW t Aïlusion à son portrait dans la Clélie, sous le nom de la princesse Clar’mte, I, 426. L’air de Nantes lui perdait le teint, II, 34o. Son beau teint, IV, I7<). Sa facilité à rougir dans sa jeunesse, IX, 389. Tous ses amis disent qu’elle est belle; elle s’en

défend, III, 282, aSç. -Coulanges l’appelle mère beauté, IV, 468 V, 348. Sa fille pourra peut-être encore la nommer (1676) sa bellissima madré, IV, 468. Elle ne voudra pas engraisser, IV, 5ax et 5aa, 53a. Son fils la trouve belle comme tin ange, V, r20. On dit, écrit-elle, qu’elle a été très-jolie, VI, 37. Allusions à ses yeux higarrés, I, 509 à ses paupières bigarrées, II, 87 à son nez carré, II, 253; V, 194, 2a5; VIII, 2681. Mentions de portraits d’elle, I, 534, 535, 538; IV, 19 VII, 3 18. Quarantehuitième anniversaire de sa naissance, III, 3q8. -Elle soutient aisément l’affront d’être grand’mère d’une fille de seize ans, VIII, 3. Elle marque encore toutes ses dents sur les beurrées (1690), IX, 460 et 461, 468. -r- Ce qu’elle dit de son veuvage, et de sa vie en général, VIII, 64; de l’abime où son mari l’avait laissée en M’ mourant, VIII, 88, 128. Elle plaisante son gendre sur sa Sa prétendue crainte de la voir se c, remarier, IX, 221 et 22a, 234. Allusion au peu de faveur dont elle et les siens jouissent, V, 54g. Inconstance de la fortune à son égard VI, 43a et 433 Ses réflexions sur la fragilité, la rapidité, la brièveté de la vie, IV, g et 10; VII, 83, 143, 148, 196 et 197, 481, 507; VIII, 458 et 459; IX, 326 et 327, 546. Ce qu’elle pense de la vieillesse, V, 540

1. C’est à tort, croyons-nous, qu’au tome IX, p. 259, note rg, Perrîn a été accusé d’erreur voyez ce qui est dit de cette note dans les Additions et Corrections.