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DES LETTRES DE MADAME DE SÉVIGNÉ". 3o5

mieux renoncer à la fondation d’une paroisse que de lui eau- ser un moment de chagrin elle justifie son dessein, et raconte l’origine probable de l’hommage qu’elle lui doit, VII, 2 1 r et 2 1 2 L’abbé de Coulanges lui écrit qu’il est de son avis sur les inconvénients de l’érection d’une paroisse, VII, 21 et 2i4- Mme de Sévigné cherche à lui persuader que cette érection ne portera aucune atteinte à ses droits, VII, 214 et 2i5. Elle le plaint de se séparer de ses filles pour les mettre au couvent, VII, 2i5, 224, 22S. M. Trouvé l’aime tendrement et serait heureux de retourner auprès de lui, VII, 226, 228. Mme de Sévigné reçoit ses conseils pour ses affaires Mme de Grignan veut lui écrire; on ne peut l’oublier, VII, 226229. Billet qu’il a écrit à Mme de Sévigné dans un moment oà il croyait mourir, VII, 207, 231. Mme de Sévigné s’inquiète d’apprendre qu’on l’a saigné, VII, 334. Elle lui demande si M. Trouvé ne pourra pas retourner quelque jour dans le chapitre d’Époisse, VII, 235. Allusion à sa mort, VIII, 342.

Guitaut (Elisabeth-Antoinette de Verthamon, comtesse de), seconde femme du précédent, II, 58, 5g, 71, 425; III, 407, 425; IV, 245 V, 29o, 336, j 398, 400, 533; VI, 44, 63, 116, 129, 54i; VII, 179, 207, aro, 317, 232, 235, 371. Incendie de sa maison; son effroi, II, 74î 75, 436. Ses couches fréquentes, II, 426. Elle va surprendre Mme de Sévigné à Bourbiliy, lui raconte des non- MME DE SÈvioNÉ. XII

velles, et veut l’emmener surle-champ à Époisse, III, 246248. Remerciments de Mme de Sévigné pour le bon accueil qu’elle lui a fait à Époisse, III, 255. Malgré sa grossesse, elle accompagne son mari aux îles Sainte-Marguerite, III, Soo et Soi. Son imprudence d’avoir fait ce voyage, IV, 240. Son heureux accouchement, IV, r3g, î43, 240. Son désespoir d’avoir à faire ses couches à Paris, V, 271. Procès qui la retient à Paris; elle va y faire ses couches; son bon esprit; regret qu’éprouve Mme de Sévigné de ne pas la voir en passant,à à Époisse, V, 282 et a83, 288. Son accouchement tarde; Mme de Sévigné prédit que l’enfant qu’elle mettra au monde sera extraordinaire, V, 335. Elle actiouélie d’un fils, qui meurt le lendemain; on lui fait croire qu’on l’a envoyé à Époisse; son mari redoute l’emportement de sa douleur quand elle saura que son enfant est mort elle a mille bonnes qualités, mais une étrange tête, V, 348, 35 t. Mme de Grignan aurait dû s’arranger de façon à l’aller voir en venant à Paris, V, 386. Son ennui d’être séparée de son mari, V, 437. Son esprit; sa société serait certainement fort agréable à Bussy et à Mme dé*Coligny, V, 474- -Avis de Bussy sur ce point, V, 479 et 480. Mme de Sévigné comprend que Bussy ne veuille pas faire les premières avances, V, 490. Mme de Sévigné lui reproche d’avoir donné un fort mauvais exemple en allant faire 20